Trois femmes, habitant la même rue, trois portraits pour un même thème : les désagréments que provoquent le manque de communication et une vision différente des choses obligeant à des compromis voire à un mal être. Le premier film du réalisateur et scénariste norvégien a contre lui un côté didactique et une surabondance de dialogues. Mais il a bien des qualités, notamment une véritable unité même s'il raconte trois histoires consécutives, dans le monde du travail ou dans les relations familiales. La justesse de ses actrices, son aspect naturaliste et sa subtilité narrative, littéraire même, y sont pour beaucoup.

Cinephile-doux
7
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le 25 mai 2018

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Cinéphile doux

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