C'est toute une époque ! La nostalgie des ossies sur des produits dont on a pu avoir du mal à penser qu'ils les faisaient rêver (même s'il manque le cocacola de l'EST qui n'avait rien à voir avec celui qu'on connaît). C'est très bien vu avec beaucoup de clins d'oeil sur ces détails parfois truculents qui servent l'amour filial du jeune héros qui veut protéger sa mère du choc culturel avec l'Allemagne de l'Ouest au moment de la chute du mur à Berlin.. Pour ceux qui ont connu Berlin Est avant, c'est un incontournable ! Un côté bon enfant tracé avec humour et une très chouette musique séduira les autres..
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 14 août 2012
Critique lue 845 fois
6 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur Good Bye, Lenin !
Monsieur et madame Kerner vivent avec leurs deux enfants à Berlin Est. Pendant l'été 1978 le père s'exile à l'ouest alors que son épouse Christiane reste seule avec ses enfants et milite dans le...
le 4 mai 2014
63 j'aime
23
Ce film me laisse perplexe quant à sa volonté historique. Hormis le mélodrame, il y a certaines justesses. Mais je ne dirais pas que c'est LE film à voir pour comprendre et se représenter ce monde...
Par
le 4 févr. 2013
26 j'aime
23
Personne auparavant n'avait abordé la chute du mur de Berlin sous cet angle. C'est le film qui manquait. Un film témoignage, éloigné du battage sur l'éclatement de "la grosse bulle". Nous assistons...
Par
le 28 nov. 2010
22 j'aime
5
Du même critique
C'est toute une époque ! La nostalgie des ossies sur des produits dont on a pu avoir du mal à penser qu'ils les faisaient rêver (même s'il manque le cocacola de l'EST qui n'avait rien à voir avec...
le 14 août 2012
6 j'aime
3
Cette fois, Erlendur, l'inspecteur fétiche n'est plus là. Ce n'est plus un policier classique, Indridasson sort de ses habitudes. Le roman est écrit à la première personne et puis à la moitié de ce...
le 10 nov. 2013
4 j'aime
en fait, c'est un livre que j'ai fini par abandonner même s'il est bien écrit et que seule l'écriture m'a laissé poursuivre au-delà de la moitié de ces démêlés familiaux qui finissent par lasser...
le 19 août 2013
4 j'aime
