Amitié à trois
Défigurée par un amant névrosé, Junie Moon s'installe en location avec deux camarades d'hôpital, un épileptique et un homosexuel en chaise roulante. Après Bunny Lake a disparu (1965), Preminger...
le 3 sept. 2019
1 j'aime
Défigurée par un amant névrosé, Junie Moon s'installe en location avec deux camarades d'hôpital, un épileptique et un homosexuel en chaise roulante. Après Bunny Lake a disparu (1965), Preminger s'affranchit totalement des conventions hollywoodiennes et tourne des films très personnels. Pour le pire (Skidoo) et pour le meilleur (Des amis comme les miens), Junie Moon appartenant à la deuxième catégorie pour son ton délibérément excentrique et cocasse dans la description d'une amitié à trois de blessés dans leur chair et leur âme dont l'énergie contamine, dans le bon sens, jusqu'à leur entourage. Porté par la musique mélancolique de Pete Seeger, le film étonne par sa liberté et sa chaleur malgré les coups du sort que réservent la vie.
Créée
le 3 sept. 2019
Critique lue 140 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Dis-moi que tu m'aimes, Junie Moon
Défigurée par un amant névrosé, Junie Moon s'installe en location avec deux camarades d'hôpital, un épileptique et un homosexuel en chaise roulante. Après Bunny Lake a disparu (1965), Preminger...
le 3 sept. 2019
1 j'aime
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 27 mai 2022
75 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
73 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
70 j'aime
13