Objet de désir des hommes, némésis des femmes, le “problème” avec Jessica est tout simplement qu’elle existe. Ça et le fait qu’elle n’a pas de voix au chapitre également, tant elle ne nous est présentée que par le prisme des autres, la jalousie féminine et la lubricité masculine. Éléphante dans la pièce qui stigmatise de fausses frustrations, elle est celle dont on se débarrasserait bien tant son franc parler pourrait faire resurgir quelques non-dits. Mais une fois l’intruse dégagée, il n’y a plus de garde-fou pour conserver les terribles secrets, et le joyeux repas entre ami·es devient un pugilat vénéneux.
Lire la critique complète ici : https://onsefaituncine.com/critique-the-trouble-with-jessica-un-diner-presque-parfait/