Emu O'Hara, jeune peintre, est témoin du meurtre d'un gangster japonais sur les hauteurs de San Francisco. Le meurtrier, un élégant et beau jeune homme, verse une larme de remords. Cette marque d'humanité n'échappe pas à la jeune femme qui se sent, depuis l'enfance responsable de la mort tragique...
Match des critiques les meilleurs avis Crying Freeman
VS
Christophe Gans a changé ma vie
J'ai vu des milliers de films et pourtant je me souviens encore d'avoir vu Crying Freeman sur grand écran à sa sortie...moqué à l'époque par Ruquier à la radio et autres, je cite: "encore un film d'action je crois, aucun intérêt!"...tant de travail massacré en quelques secondes...pourtant j'avais a-do-ré. J'ai beaucoup appris à ce moment là sur le cinéma et la critique et le système.
J'essaye donc de tout voir sans a-priori. Tous les genres (à part l'extrême horreur/torture etc.). Depuis...
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17
12
Le souffle du dragon
Une dizaine d'années plus tard, les scènes d'action sauvent les meubles d'un jeu d'acteurs kitchissime, faussement américain avec une volonté de coller aux canons japonais.
Y'aurait moyen d'avoir un montage de 20 minutes, exclusivement composé de scènes d'action qu'on aurait quand même la mesure de tout le scénario : une femme nymphomane est frappée par le syndrome de Stockholm tandis que le gentil-méchant-tueur-qui-est-en-fait-un-gentil-potier-converti-de-force-en-tueur-à-gage en tombe...
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Critiques : avis d'internautes (32)
Crying Freeman
Tri :
recommandées
positives
négatives
plus récentes
Les amants tragiques
L’originalité du Crying Freeman adapté par Christophe Gans est double. C’est d’abord le cosmopolitisme partout présent, depuis son casting international jusqu’à la musique originale qui mêle les sonorités ; se déploie devant nos yeux une œuvre hybride qui tire de cette convergences d’influences éparses une richesse des plus appréciables. C’est ensuite l’entrelacs des pulsions de vie...
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Les larmes écarlates du potier assassin.
Comme l'avait fait un certain Luc Besson au tout début des années 80 avec "Le dernier combat", le frenchy Christophe Gans tentait, au milieu des années 90, de renouveler un peu un cinéma européen légèrement endormi, de prouver que l'on pouvait, nous aussi, faire aussi bien que les asiatiques sur leur propre terrain.
Pour son premier long-métrage en solo, Christophe Gans adapte le manga de Kazuo...
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Critique de Crying Freeman par fayavince
Adaptation honnête du manga culte de Koike.
Mais au delà de ça, c'est un vrai hommage au cinéma de Hong Kong des grandes heures. Maniéré comme du John Woo d'époque. Romantisme et action chorégraphié sont au rendez vous pour les amateurs (dont je fais partie) avec une brochette d'acteur qui n'en font pas trop et assure leurs doses de présence charismatique ( Dacascos est juste parfait).
Gans...
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Potier professionnel, c'est pas facile tous les jours
Je vais enfoncer une porte ouverte, mais Crying Freeman est un film de fanboy. Et c'est bien là le problème. Christophe Gans, pour son premier coup d'essai au format long, ne semble pas avoir été motivé par l'opportunité de raconter une histoire ou de partager le destin hors du commun de personnages atypiques. Non, avant tout et par dessus tout, Crying...
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Critique de Crying Freeman par Tinou
Cette adaptation du célèbre manga est malheureusement ratée. Christophe Gans en fan de John Woo multiplie les ralentis et sa mise en scène, finalement peu inspirée, ne trouve ni force, ni rythme, ni originalité, tout comme l'interprétation et le scénario, embrouillés et confus.
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