N’était le vif espoir de reluquer une portion de la lourde poitrine de Rachel Ward et accessoirement de voir à l’œuvre les toujours sympathiques James Woods et Jeff Bridges , je n’avais aucune raison particulière de visionner Against all Odds ; d’autant que la B.O. de ce film est bien connue pour la présence d’un des plus abominables marchands de soupe de l’histoire de la musique populaire : Phil Collins.


Si, dieu merci, l’ancien batteur de Genesis ne fait entendre sa voix d’outre-tombe qu’au générique de fin, nous avons toutefois droit à une bande-son à vomir…


L’histoire et les dialogues, alors ? Sans intérêt.
La mise en scène ? Sans intérêt.


Que reste-t-il ?


Un jeu d’acteurs (sympathiques ; bis repetita) plutôt convaincant.


De l’exotisme, de la nostalgie (Richard Widmark est au casting)…
… … … … et ... Rachel Ward……………………………………

Arnaud-Fioutieur
5

Créée

le 28 avr. 2022

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