Au coeur des années 80, avec Sly, Arnold et leurs potes, très vite est apparu au ciné le terme de "bad guy" ou ce qu'on a traduit très bizarrement par "dur à cuire". Prenons un exemple: vous aviez un héros qui avait l'air d'avoir passé plus de temps en salle de gym, qu'à l'école primaire. Peu importe qu'il venge la mort de sa grand mère tuée d'une balle perdue alors qu'elle regardait Derrick... Lire la critique de Big Hit