Avec l'essor des technologies de l'information, nous sommes également entrés dans l'ère des réseaux sociaux et donc dans l'ère du nouveau moi, qui est à un moindre degré évalué par l'individu, mais par un large public. Les blogs de beauté ainsi que la demande croissante et économiquement légitimée de s'optimiser, les sociétés qui ont tendance à évaluer une personne en fonction de son apparence extérieure ont maintenant trouvé la plate-forme idéale pour s'engager dans cette entreprise, conduisant peut-être à une société moins tolérante et plus conformiste... Récemment, des œuvres ont tenté de mettre la lumière sur la relation de plus en plus problématique entre une société superficielle, la tradition et le patriarcat. Dans son film d'animation Beauty Water, Cho Kyung-hun traite de thèmes similaires, mais utilise un cadre de genre pour explorer davantage les interconnexions des médias sociaux, son obsession pour la beauté et la façon dont elle change la perception de l'individu.
Critique disponible en intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-beauty-water-la-beaute-ne-fait-pas-tout/