Syndrome n°1 du cinéma français le recours systématique aux mêmes vieilles faces de clowns usées qui donnent un coup de poussière à n'importe quelle production, engluant définitivement le film dans une sorte de médiocre déjà vu aussi redondant et passéiste qu'un téléfilm de dimanche soir.

Dommage, ce gros défaut suffit à lui seul - vu les dimensions que prend ici le dispositif - à enfoncer ce dernier composant de la trilogie loin en dessous des deux premiers films. Les deux premières parties boboïsantes à mort et aussi verbeuses que creuses complètent presque le tableau sclérosé, sauvé du désastre par une dernière partie dédiée à l'anarchie digne de Tati et vraiment réjouissante. Mais bon, sacrée déception, j'allais voir un Polydalès, je me retrouve devant une "comédie" française lambda. A noter tout de même, une mise en scène très élégante.
Tybalt
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le 14 oct. 2010

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Tybalt

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