Cette critique ne contient pas de spoils, sauf pour la fin, voilà à quoi servent les chiffres entre crochets : lorsqu'un [x] apparaît dans la critique, c'est parce qu'à la toute fin, j'explicite le moment auquel je fais référence en spoilant du coup. Si vous ne voulez pas vous faire spoiler, il vous suffit donc de vous arrêter avant ce moment


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Petit résumé de cette longue critique : Infinty War est un film complet, jouant avec nombres de nos émotions. Bien qu'étant un blockbuster très formaté, il se permet quelques audaces de mise en scène et scénaristiques, surtout grâce à sa position de chapitre final du MCU tel qu'on le connaît.
Si ce genre de qualités propres existent, tout comme le traitement de son antagoniste et de ses personnages secondaires, il est évident que son immense force est son positionnement dans l'histoire de Marvel, et que vous risquez de ne pas y trouver grand chose si vous n'êtes pas familier ou que vous n'aimez pas les films Marvel de ces 10 dernières années.
Dans tous les cas, ce long-métrage est à ma connaissance une première dans l'histoire du cinéma, du jamais vu, un film titanesque.


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Version longue


Connaissez-vous la web-émission "Chroma" de Karim Debbache? Dans nombre de ses chroniques (et même dans les anciens Crossed), il nous encourage à nous demander qu'est-ce que nous attendons d'un film et quelle est notre vision du cinéma en général. Il me paraît évident que votre réponse à ces questions va énormément influencer votre appréciation d'Infinity War (d'ailleurs ça m'étonne que les réactions qu'il suscite ne sont pas plus polarisées).
Mais reprenons depuis le début.


10 ans après que Tony Stark ait construit son armure dans une grotte afghane, et 6 après la formation des Avengers et leur refoulement de l'armée de Chitauris hors de la Terre, voilà que la personne qui les avait envoyés sort de son ombre et vient menacer l'humanité... Comme tout le reste de l'univers. Thanos entre enfin en scène.
Et si vous n'avez rien compris au paragraphe précédent, on touche du doigt le point terriblement efficace mais à double-tranchant de ce film : il est le point d'orgue de tout ce qui est arrivé dans le Marvel Cinematic Universe jusqu'ici. Chacune des actions et des réactions de presque chaque protagoniste présenté à l'écran est le résultat logique de ce qui s'est passé durant ces 18 films. Autant dire que si vous n'avez pas suivi "la série", vous allez totalement passer à côté de ce qui rend cette oeuvre exceptionnelle.


Alors certes, Infinity War est un film avec un début, un milieu, et une fin. Et on peut déjà le juger en tant que tel, pour ce qu'il nous montre, sans prendre en compte son contexte. Et franchement il n'y a pas à rougir!
Parce que pour un blockbuster très formaté, la mise en scène est assez sympathique : les Russo ont notamment compris à quoi servait un plan-séquence, et surtout la scène d'ouverture absolument géniale et qui nous plonge immédiatement dans le vif du sujet, et donne le ton du film [1]. Il y a également UNE scène dans le film, un gag, pour lequel je les remercie : alors qu'on a l'habitude que tout s'enchaîne avec des cuts infernaux, là on nous offre un plan fixe de quelques secondes sur la mine dépitée d'un personnage... À mourir de rire, un des meilleurs moments d'humour du film!
À côté de ça le rythme est presque parfait, un tout petit peu en-deçà de ce que les réals nous avaient proposé avec Civil War, à cause de quelques scènes de romance dispensables. Par contre, et oui je vais revenir plusieurs fois dessus parce qu'elle m'a vraiment marqué, la scène d'ouverture remet bien fort celle de Civil War à sa place! En fait elle remet à sa place la plupart des scènes d'ouverture dont je peux me souvenir...
Sinon, bien que le cadrage manque encore un poil de stabilité et que la profondeur de champ se fait encore trop petite à des moments où on gagnerait à avoir une image entièrement nette, la plupart des scènes d'action sont dynamiques, agréables, relativement lisibles (bon là ça dépend des scènes honnêtement) et diablement inspirées! Parfois on atteint même le somptueux.
Il faut dire que d'une part, le pouvoir des pierres d'infinité donnent des possibilités très étendues, et d'autre part on a des personnages qui ont atteint un niveau de puissance et de maîtrise de leurs capacités assez dingues [2]! (et on a Dr Strange aussi, tout simplement)


Et bien entendu, il est là le cœur et l'intérêt profond du film : avec plus de 25 personnages ayant été les stars de leurs propres films, maintenant regroupés dans un seul film de même pas 2h30, on se retrouve là obligé de les traiter comme des personnages et pas comme des icônes-stars, amies ou ennemies, devant forcément être sous les projecteurs et prendre toute la couverture. Et on peut en faire des choses intéressantes. Cela se ressent non seulement dans la narration mais également dans la réalisation, notamment dans cette fameuse scène d'ouverture dont je ne cesserai de louer le génie [1].
La plupart des vieux de la vieille, les Avengers originaux, sont au sommet de leur forme, à l'accomplissement de leur rôle, de ce qu'ils voulaient être, et certaines phrases ne manqueront pas de nous le rappeler puisque certains personnages citent presque mots pour mots d'autres phrases prononcées ces 10 dernières années [2]. Mais malgré ce paroxysme super-héroïque, on voit aussi que le temps les affecte... Physiquement déjà, clairement on voit que des années ont passé, mais dans leurs paroles aussi : les combats s'accumulent, et celui-ci sonne comme le dernier combat à livrer, avec une défaite interdite.
Et puis il y a CE nouveau personnage : Thanos, l'antagoniste ayant enfin décidé d'agir, de prendre les choses en mains. Et il remplit son rôle à merveille. Sa force et sa volonté provoquent le sursaut héroïque précédemment mentionné, mais sans qu'il soit une incarnation manichéenne du mal, non. Là où c'est plus subtil, c'est qu'on comprend ses motivations, et que même si votre serviteur les trouve horribles et même stupides, oui, c'est un discours que l'on retrouve totalement dans notre humanité... Et un méchant qu'on peut éventuellement comprendre, et surtout dont on assiste aux peines et aux défaites, aux faiblesses affectives, c'est un méchant qui sera mieux installé dans notre esprit et dans le récit, plus crédible, et de manière logique plus menaçant.


Maintenant, comme je l'ai dit précédemment, tout ça est à double-tranchant. Parce que réunir tous ces personnages et les traiter comme ça, c'est possible seulement parce qu'on les connaît depuis longtemps. Clairement si vous ne connaissez pas leur histoire, si vous ne connaissez pas les détails de leurs relations, vous allez juste passer à côté de la moitié du sens de ce qui se passera à l'écran.
Si vous n'avez jamais vu Avengers, vous ne savez pas à quel point l'attaque de New York a marqué Tony, vous ne savez pas quel rôle Loki a joué là-dedans. Si vous n'avez pas non plus vu les Thor, vous ne savez pas à quel point la relation entre les deux frères est tordue. Si vous n'avez pas vu Spider-Man Homecoming et Civil War vous ne comprenez pas la nature de la relation entre Spider-Man et Iron Man...
C'est donc une qualité mais qui peut également être un défaut. D'ailleurs ce n'est pas seulement si vous n'avez pas vu ces films que c'est un défaut, mais également si dans votre vision des choses, un film doit se suffire à lui-même.
Dans les autres qualités/défauts, ce que j'ai particulièrement apprécié c'est des phrases prophétiques parsemées dans tout le film [3], en plus des références au passé. J'ai personnellement beaucoup apprécié ça mais je peux comprendre qu'on soit déçu qu'il n'y ait pas de superflu, et qu'on aime pas le principe du fusil de Tchekhov où chaque phrase est là pour préparer un futur événement du film.
Mais au-delà des phrases prophétiques, on a aussi des déclarations méta vraiment cools, SURTOUT le caméo de Stan Lee à mourir de rire :D Tiens ben en parlant de mourir de rire, s'il y avait des passages vraiment drôles, et agréables, j'ai trouvé que parfois c'était un petit peu trop, que l'humour venait vraiment trop casser un moment épique/dramatique.


Pour ce qui est des défauts que j'ai vraiment ressentis... Ben y'en a très peu! Mais tout de même, on peut noter :
- Deux incohérences/facilités/légèretés scénaristiques assez frustrantes, sans lesquelles le film aurait pris une tournure trèèès différente, voire aurait duré moins longtemps [4]. Et un moment habituel chez Marvel de "La science, la logique? Je m'en branle!" (oui, je sais que c'est de la science-fiction/fantastique, mais là on parle de la cohérence interne du machin). Alors si quelqu'un a vraiment compris en détails comment fonctionne Nidavellir et ce qu'y a fait Thor, contactez-moi :D
- Certains personnages auraient vraiment mérité d'avoir un peu plus de place... Mais bon pour l'intérêt général du film, c'était peut-être bien comme c'était, faut avouer
- J'ai mentionné Civil War précédemment, et bien ce film passe un coup de chiffon dessus un peu trop facilement :/. J'aurais aimé avoir un aperçu de ce qu'a fait le groupe de Captain après leur fuite de la prison, savoir comment Wanda et Vision se sont rapprochés, et éventuellement avoir un vrai épisode collectif nous montrant l'évolution de la scission entre les Avengers, et forcément de celle entre Tony et Captain. De même, Rhodes renie avec tellement de facilité les accords qu'il a signés, Bucky est sorti de son sommeil à la fin de Black Panther juste pour ce film mais on ne nous dit absolument pas qu'ils ont su effacer son conditionnement... Ouais c'est dommage quand même.


Voilà. C'est bien peu de choses par rapport à toutes les qualités pré-citées. Et de manière plus générale, on peut dire que ce film nous fait passer de la peur à l'épique au frisson aux larmes au sourire à la joie à la victoire à la défaite... Un film incroyablement vivant. Qui finalement traite plutôt bien mêmes ses personnages secondaires : les enfants de Thanos ont tous un style, certes proche, mais bien à eux, autant dans le combat que dans le design, et nous offrent eux aussi des scènes vraiment classes.
Et bien entendu, si on est un fan du MCU, ce film est juste rempli à ras bord de récompenses, de clin d’œils... Et comme j'ai dit de simples aboutissements logiques!


Non vraiment, vous ne pouvez pas passer à côté si vous êtes dans ce cas. Marvel a réussi à mélanger avec brio série et cinéma, et nous offre là une sorte d'épisode 9 de Game of Thrones, qui tient ses promesses et finit sur une note terriblement différente de ce à quoi il nous avait habitué. Les attentes pour Avengers 4 vont être plus élevées que jamais, car clairement on nous prépare quelque chose!



  • Maintenant, les compléments. Si vous avez déjà vu le film ou acceptez d'être spoilés, passez votre souris sur ces zones grises!


[1] : la scène d'ouverture.
Les logos des studios n'ont même pas fini de s'afficher à l'écran que l'on entend le signal de détresse envoyé par l'arche asgardienne. Puis le rideau tombe et on découvre le massacre perpétré par Thanos et ses sbires, le tout commenté par le discours mystique d'Ebony Maw, le concluant par un glacial "Vous voilà vous aussi les enfants de Thanos", permettant à la fois de se présenter lui-même, de confirmer l'identité des meurtriers et de présenter directement le personnage principal du film. Cette vue sur ces bottes enjambant les corps les uns après les autres est un symbole fort de la puissance des ennemis que nos héros vont affronter et de la terreur qu'ils représentent pour les simples terriens mortels que nous sommes.
Mais ça ne s'arrête pas là.
Le plan-séquence finit par nous montrer Loki, debout, et Thanos dans son armure... Et un personnage, traité comme un simple figurant, un mort de plus on se dira. Sauf que nous, sa silhouette nous est familière. Toujours avec cet œil en moins, Thor, le demi-Dieu nordique ayant retrouvé un second souffle dans l'épisode précédent, est relégué en périphérie de l'écran, totalement écrasé à la fois par le cadre et par la puissance de Thanos. Ce qui suivra ne manquera pas de briser l'espoir que l'on pouvait avoir : Hulk subit pour la première fois de sa vie une défaite absolue, écrasante, Heimdall, le gardien du Brifost, prend une lance dans le cœur, et Loki meurt cette fois-ci réellement en tentant pour une fois de sauver l'univers.


[2] : l'aboutissement de 10 ans de MCU
Dans cette précédente scène, Loki croit pouvoir s'en sortir grâce à Hulk. Et alors qu'il tend le Tesseract à Thanos, il prononce presque mot pour mot la phrase que Tony Stark lui avait lancée lors de sa tentative d'invasion de la Terre "On a un Hulk". Hulk avait effectivement mis Loki hors d'état de nuire avec une facilité déconcertante, et on peut penser que le prince de la malice, passé du bon côté, espérait que le monstre vert sauverait les gentils une fois encore. Vous connaissez la suite...
De même, au début d'Iron Man 2, Tony Stark déclarait lors de son procès que son armure était conçue pour être une extension de son corps, et qu'il voulait protéger l'humanité. Après sa disparition à bord du vaisseau d'Ebony Maw, Captain America déclare que "La Terre a perdu son meilleur protecteur". Et effectivement la nouvelle armure de Tony, se régénérant en temps réel grâce à un générateur de nano-particules apparemment encastré sur son torse, lui donne une puissance jamais vue jusqu'alors. À tel point qu'elle lui permet même de mener un combat, certes court et perdu, contre un Thanos possédant 4 pierres de l'infinité.
D'un autre côté, on a Thor, qui comme dit précédemment a été totalement vaincu, écrasé, en plus de ce qu'il a déjà subi dans le précédent film. Et pourtant, il a survécu. Son vaisseau a explosé, il a perdu tout ce qu'il avait, mais le vide de l'espace ne l'a pas tué. Loki se demandait dans le premier Avengers si les asgardiens étaient vraiment immortels comme les humains le pensaient, et apparemment il connaissait déjà la réponse à la question. Effectivement Loki est mort, mais on peut vraiment se demander si Thor n'est pas réellement un Dieu, contrairement à Thanos (ce qui est mot pour mot ce que Loki lui a dit avant de perdre la vie...).
Non seulement il survit, mais il réussit en plus à faire renaître une étoile, à survivre à son énergie déchaînée contre lui et revient sur Terre avec un pouvoir de destruction inimaginable, lui permettant de décimer l'armée de Thanos dans une rage sans merci. Et il est passé à deux doigts de réussir à tuer ce dernier, avant le funeste claquement de doigts...


[3] : les phrases prophétiques
Si Thor aurait pu tuer Thanos, le fait est qu'il n'a pas su l'empêcher d'accomplir sa volonté, et de décimer la moitié de l'univers. Et hélas, c'est ce qu'il avait prédit. Quand Rocket lui demande s'il se sent vraiment le courage d'accomplir sa quête, Thor parle de la colère et la vengeance comme moteurs, qui lui permettront de tuer Thanos comme il a tué tant de gens avant, Thanos qui ne sera que le dernier d'une longue lignée de gens qui n'auraient pas du croiser sa route... Ce à quoi Rocket répond "Et si tu te trompais?". Et là le visage de Thor (joué franchement tout en subtilité par Chris Hemworth, qui ne m'avait pas marqué jusque là) s'assombrit alors qu'il dit "Ben de toutes façons je n'ai plus rien à perdre", avant que le pauvre Rocket ne prédise "Moi j'y perdrai gros". Et en effet, la conclusion du film tue absolument tous les amis, tout l'équipage de Rocket, surtout son Groot devant ses yeux.
De même, Strange déclare à Tony qu'il n'hésitera pas à le laisser mourir si cela peut sauver la pierre. Au final, il fait tout l'inverse puisqu'il donne la pierre à Thanos en échange de sa miséricorde pour cet Iron Man vaincu.
Et pour être vaincu, il le sera jusqu'au bout. Alors qu'il parlait de son désir d'avoir un enfant au début du film, Tony aura accompli ce "voyage sans retour" avec son apprenti, Spider-Man, pour qui il est à n'en pas douter un père spirituel. Pas d'oncle Ben dans cette version de l'histoire, juste un monsieur Stark qui lui apprend à devenir un héros, même si c'est compliqué, et qui essaiera de le protéger jusqu'au bout. Hélas Peter Parker sera un des autres perdants de ce pile ou face céleste, et sentira (sûrement grâce à son sixième sens arachnéen) sa fin arriver. Il finira sa vie en serrant son mentor dans ses bras, en l'appelant à l'aide, alors que ce dernier ne pourra rien faire d'autre que de regarder disparaître dans le silence l'être étant le plus proche de ce qu'il aurait pu appeler un enfant, enfant qu'il n'aura probablement jamais...
D'ailleurs, il ne s'agit pas que de son enfant. À la fin du film, Tony voit disparaître tous les gens qu'il connaissait sur cette planète inconnue, et se retrouve blessé et seul avec une cyborg alien totalement inconnue. Strange disparaît aussi en lui disant que c'était le seul moyen. Lui qui a vu le futur, on sait ce que ça veut dire : Tony Stark est un élément clé dans une victoire contre Thanos, et ce génocide était apparemment un moindre mal... Dingue! Mais, et là c'est une phrase plus méta que prophétique, il lui dira également juste après avoir donné la pierre à Thanos "On entre dans la phase finale". Et quand on sait que Marvel classe ses films dans des phases...


[4] : Incohérences/facilités scénaristiques
Aucun de ces héros ne seraient morts si Thanos n'avait pas réussir à récupérer les 6 pierres, ou si les Avengers et les Gardiens avaient su lui retirer ce gant.
Gamora était prête à mourir pour enterrer avec elle l'emplacement de la pierre de l'âme, mais elle cède bien trop facilement au chantage que Thanos lui inflige en torturant sa sœur. Vous allez peut-être me dire que je n'ai pas de cœur, mais il est évident qu'une vie vaut bien peu de choses par rapport à la somme de la moitié des vies de l'univers. Gamora aurait du au moins tenter de la faire à l'envers à Thanos, en lui disant "D'accord je vais te le dire, la pierre est à tel endroit" et en profiter pour s'approcher de sa sœur... et achever ses souffrances une bonne fois pour toutes. Thanos aurait même pu faire disparaître son poignard à ce moment, comme il l'a fait juste avant de jeter Gamora dans le vide.
De même, alors que le plan de Starlord fonctionne et que l'équipe a réussi l'impensable en neutralisant Thanos, Spider-Man (rappelons qu'il dispose d'une force physique incroyable) et Iron Man mettent 3 heures à lui retirer son putain de gant, alors que cet abruti de Starlord décide de lui donner des petits coups sur le nez de rage après avoir appris le meurtre de Gamora. Au lieu de simplement lui prendre le gant et de s'en servir pour le torturer encore et encore. Et COMME PAR HASARD Spider-Man réussit à lui enlever le gant au moment où il se réveille, pour qu'il puisse le récupérer du bout des doigts... Nan les mecs c'est vraiment trop gros là, arrêtez!

Ohne
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le 2 mai 2018

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Ohne

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