
La deuxième partie du film est très bien écrite : la dualité de la guerre, l'amitié qui nait entre les personnages. Quant à la première partie, elle aurait mérité un montage plus ambitieux, quitte à raccourcir le film d'un bon quart d'heure. Au final on a une plutôt belle prestation, malgré un Bohringer souvent en sur-jeu (mais c'est habituel chez lui, on finit par s'y faire...). mention spécial pour les enfants. Le film reste malgré tout plutôt mineur quant à l'émotion qui finalement ne passe pas contrairement au bon vouloir du réalisateur. Un demi-échec ou un demi-succès ; chacun sa façon de voir.