Nanar succulent, post-apocalyptique italien, gloubi-boulga de références ciné (La planète des singes, New-York 1997, films de cyborgs, de gladiateurs, Mad Max, etc j'en passe). C'est vraiment pas mal, comme un nanar doit l'être s'entend, c'est à dire mal foutu, avec des effets spéciaux pourris, des acteurs pas bons, une écriture scénaristique foireuse, bref de quoi bien rigoler. Avec une réplique qui m'a fait ma soirée, quand le héros sauvant un nain attaqué par une bande de rebuts de la société s'écrie "mais est-ce une faute si grave d'être un nain???" Succulent vous dis-je!
Vu grâce à La La Cinémathèque du Bis que je remercie chaleureusement ici.
Créée
le 1 nov. 2023
Critique lue 11 fois
1 j'aime
D'autres avis sur 2019, après la chute de New York
Je vais commencer mon compte-rendu de cette nuit à L'étrange festival par le dernier film, non pas pour être étrange moi-même, mais parce que ça va être le plus facile. Il était 6h du matin déjà, il...
Par
le 4 sept. 2011
9 j'aime
11
Waow ! Un mélange sous acide des Fils de l’homme avec Mad Max, La planète des singes et La guerre des étoiles, mais à la sauce Les rats de Manhattan ! Jubilatoire ! Comment se pourrait-il que tous...
le 15 juil. 2014
7 j'aime
1
Pur produit rital des années 80, 2019 fait partie de cette période bénie durant laquelle l'Italie ne pouvait s'empêcher de reprendre les succès américains pour en tirer des dizaines et des dizaines...
Par
le 4 sept. 2011
5 j'aime
3
Du même critique
Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...
Par
le 22 nov. 2017
54 j'aime
16
août 2012: "Holly motors fuck!", ai-je envie de dire en sortant de la salle. Curieux : quand j'en suis sorti j'ai trouvé la rue dans la pénombre, sans un seul lampadaire réconfortant, un peu comme...
Par
le 20 avr. 2013
53 j'aime
16
En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...
Par
le 4 sept. 2018
50 j'aime
