The End, So Far
We are not your kind, le précédant album du groupe m'avait beaucoup plu et m'avait un peu rabibocher avec le groupe. Donc c'est avec une certaine impatience que j'attendais cet album. Et comment dire que le jour de la sortie et après une première écoute, je n'ai pas été convaincu. Du coup c'est bien plus tard que je me décide à lui laisser une seconde chance et que j'écris cette critique.
L'album commence par une chanson qui à le mérite de sortir du lot quand on pense à Slipknot. Adderall est une espèce de ballade retro pas du tout métal, qui à le mérite d'intriguait mais qui ne m'a pas convaincu surtout en voyant le reste de l'album qui revient vite au premiers amours du groupe. Un bon gros son qui tâche avec The Dying Song qui à le mérite d'être efficace à défaut d'être vraiment très original comme l'était le précédent titre. Chapeltown Rag rappelle plus les premiers pas du groupe, avec moins de brutalité mais ça marche plutôt bien.
Slipknot sait faire des ballades, je pense à Vermillion qu'en j'écris ces mots. Yen est la ballade réussi de l'album. Elle m'avait un peu déçu de prime abord mais plus je l'écoute plus je l'appécie. Et voilà qu'arrive la bonne surprise de l'album avec Hive Mind avec un Jay Weinberg bien inspiré comme pour le reste de l'album mais je trouve que cette chanson met en valeur son travail. Puis cela retombe un peu avec Warranty qui ne ma pas convaincu musicalement ou même au niveau du chant et des chœurs.
Medecin for the Dead, pareil le refrain ne fonctionne pas et le tout est oubliable. Tout comme Acidic qui avait encore le mérite une certaine touche d'originalité avec cette voix trafiqué et cette guitare mais je n'apprécie pas le tout. Et on fini avec Heirloom, trop pop pour moi.
H377 revient à la base de slipknot laissant un peu de coté le chanter mélodique pour quelque chose de plus avec un chant bien rapper. Corey est vraiment bon dans ce style et puis le tout fonctionne parfaitement avec les percus, la grosse force du groupe. Avec de Sade on revient à quelque chose de plus mélodique, et même si je n'ai pas été convaincu par la partie chant la partie instru m'a convaincu. Finale qui ce veut bien grandiloquant avec ses effets chœurs philarmonique et musique classique, mais le refrain vient un peu tout gâcher, dommage.
The End, So Far n'est pas un mauvais album loin de là et plus je l'écoute et plus je l'apprécie. Il en reste tout de même un petit gout d'inachevé.