Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.

The open road is what I need to breath freely. Free me.

Le génie d'August Burns Red tient en deux choses, principalement : leurs textes et le génie de composition. Et à partir de là, comment ne pas atteindre des sommets ? Leurs instrumentalisations sont aussi pure que leurs textes, les trouvailles se font par caisses, et c'est ça qui frappe. Tordre le cou au préjugé du "le metalleux, ça sait faire que gueuler, jouer fort et en disto maximale". Comme ils nous l'avaient montré dans leur précédent album, notamment avec Internal Cannon, avec sa partie flamencore et Jake qui joue de la cloche, Rescue and Restore nous prouve que la musicalité s'impose, petit à petit. Parce que les interludes musicales dans les morceaux se sont vite imposées comme marque de fabrique du groupe et ont pris plus d'importance dans ce dernier album, comme Treatment et son improbable, mais néanmoins magnifique, break de guitare acousitque, accompagné de violons et de contrebasses. Et Matt Greiner qui cartonne sa batterie avec une finesse, elle aussi, improbable. Improbable, aussi, l'idée de mettre le chant derrière les instruments dans ce morceau édifiant qu'est Creative Captivity, cette intro avec des sonorités chinoises est étrange, mais tout le reste se rajoute autour d'une manière naturelle. Ces petites sonorités étrangères à mes oreilles donnent un second souffle au morceau, comme cette fin avec une trompette qui me donne envie de me lever et de partir pour le Mexique.
lcs_hbr
8

Créée

le 29 juin 2013

Critique lue 213 fois

8 j'aime

Lucas Hueber

Écrit par

Critique lue 213 fois

8

D'autres avis sur Rescue & Restore

Rescue & Restore
Evalia
6

un charme unique

August Burns Red est un groupe de Christian Core originaire de Lancaster, Pennsylvanie. Ces artistes que l’on suit, depuis pas mal d’années déjà, offrent un rythme d’écriture effréné d’environ un...

le 17 sept. 2015

Du même critique

#Horror
lcs_hbr
1

BEING TWELVE SUCKS

Je pense que le titre se suffit à lui-même. Oui, c'est une horreur. Point barre. Y'a pas à chercher midi à 14h, quand on voit le titre du film, c'est clair, net et précis. Et la jaquette aussi...

le 30 août 2016

17 j'aime

L'Orange mécanique
lcs_hbr
9

Ce livre ne parle pas de fruit.

Voyez, O mes frères, comment Votre Humble Narrateur, un tchelloveck comme un autre se retrouve face à la dure réalité de la jiznée des adultes. Alex de Large, 14 ans, maltchickicaïd anglais...

le 8 mars 2013

15 j'aime

10

The Lords of Salem
lcs_hbr
8

Le diable est un nain.

Je suis friand de films d'horreur. Paradoxalement, je n'aime pas avoir peur. Mais ça, c'est personnel et je devrais penser à aller consulter. Je n'ai pas vu beaucoup de films de Rob Zombie (le...

le 2 mai 2013

12 j'aime

3