Tomber amoureux de ce nouvel album des Postmarks n'est qu'une question de temps. Le temps de se dévoiler, le temps de s'imprégner de ce romantisme, le temps de se projeter dans une ambiance de film des années 60. Surtout, comment peut-on ne pas succomber à la voix envoûtante de Tim Yehezkely, égérie d'une twee pop classique et charmeuse ? Impossible.
Kristoffe
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Ces albums doux comme du Cajoline

Créée

le 23 déc. 2011

Critique lue 86 fois

Kristoffe

Écrit par

Critique lue 86 fois

Du même critique

Sound of Silver
Kristoffe
10

Critique de Sound of Silver par Kristoffe

Impossible cette année d'être passé à côté de l'album du new-yorkais James Murphy et son LCD Soundsystem rythmé, halluciné, excellemment construit et génialement inspiré. Si le premier opus éponyme...

le 24 déc. 2011

14 j'aime

Crystal Castles
Kristoffe
9

Critique de Crystal Castles par Kristoffe

Les Canadiens de Crystal Castles sortent d'un peu nulle part pour s'imposer un peu partout, par leur marginalité, non pas stylistique, mais bien fondamentale. Dans un monde électronique et baroque,...

le 23 déc. 2011

14 j'aime

Dead Man’s Bones
Kristoffe
8

Critique de Dead Man’s Bones par Kristoffe

Comme dans Half Nelson, Ryan Gosling, son regard et sa voix tombants, incarne au sein de Dead Man's Bones un désenchantement permanent, ponctué de grâce juvénile, sorte d'appels d'air réguliers dans...

le 23 déc. 2011

13 j'aime