Les lectures forcées et finalement adorées selon Yuan

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Mon livre préféré, tout simplement. Il est au programme de lecture des 1ères aux États-Unis. Pour l'anecdote, je ne l'ai pas ouvert une seule fois pendant la période où nous étions notés dessus, et pourtant j'ai mené avec aisance toutes les discussions en classe portant sur le racisme et les messages que renferme ce livre, grâce à une chance vraiment incroyable. Moi-même je n'avais pas trop idée de quoi je parlais quand on en causait en classe (nos discussions étaient notées), et pourtant je n'ai jamais eu en-dessous d'un B (équivalent à 16/20). Je ne l'ai lu qu'une fois qu'on avait fini de l'étudier en cours, et je ne sais pas si ça m'a permis de l'apprécier davantage, mais une chose est sûre : ce livre est une Bible pour moi, tant il mentionne des notions de vie qui me sont chères.

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Si j'étais resté plus longtemps aux États-Unis, j'aurais eu à le lire, étant donné qu'il est au programme des lectures d'été de l'année de terminale. Mais au final, je n'ai pas attendu ça pour le lire. Mon professeur de violon m'en parlait toujours comme étant son livre préféré, et il m'en a souvent fait l'éloge. Ma mère aussi adore ce livre. Donc au final, j'en ai trouvé une bien vieille édition sur une brocante, et je l'ai dévoré d'une traite. Et j'y ai trouvé une grande oeuvre, belle et tragique.

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Une de mes amies chinoises l'avait parfois mentionné quand on parlait de philosophie lors de notre club, quand j'étais encore aux USA. Un autre très bon ami à moi, toujours chinois, l'avait constamment sur son bureau chez lui, toujours ouvert à une page différente. J'en avais lu des bribes de mon propre intérêt, mais ce n'est qu'en me mettant sérieusement au kung-fu et en écoutant mon maître en réciter quelques parties pendant qu'on s'échauffait que j'ai décidé de vraiment m'y attarder. Finalement, je ne l'ai vraiment lu en entier que récemment. Ça reste un ouvrage que je juge très bon pour vivre sainement, plein de vérités, qui est une véritable source d'inspiration, voire carrément un vecteur pour mettre en place certaines de mes propres idées.

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Le fait que je passe mon bac en France a forcé mon passage sur ce livre, puisqu'il est au programme de première. Je n'en attendais pas grand chose, si ce n'est que ma mère m'a toujours dit du bien des contes de Voltaire et me les recommandaient constamment. Finalement, il ne m'aura pas fallu plus d'un jour ou deux pour avaler Candide. J'ai complètement ignoré l'analyse faite en cours pour m'en offrir ma propre vision, qui fait que je l'ai sans doute apprécié bien plus que si un prof m'avait fait vomir des pavés et des dissertations là-dessus.

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Il est au programme pour tous les élèves de 3ème aux États-Unis. Le fait que j'avais une prof que j'appréciais pas mal a rendu la lecture de ce livre vraiment amusante. On a même eu quelques petits projets et exposés à faire dessus qui m'ont plu (malgré le fait que je les ai fait à l'arrache et que ça a résulté en sales notes). Pour moi, ce livre maîtrise vraiment tout les thèmes qu'il aborde, et ce n'est pas négligeable. Bref, il m'a plu à l'époque, et j'en garde un très bon souvenir. C'est ce bouquin qui a confirmé mon amour pour Ray Bradbury, que j'avais déjà un peu développé en lisant The October Country.

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Encore un livre au programme de 3ème aux États-Unis. Ce qui est surprenant, puisqu'il s'agit, à mon gout, d'une histoire très sombre. Mais ça ne m'a pas déplu, bien au contraire, puisque cette œuvre est aussi boulversante qu'elle se lit rapidement. En tout cas, on peut dire que ça calme, de lire un livre aussi violent.

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Lecture obligatoire quand j'étais encore en primaire, encore en France. C'est l'un des plus beaux comptes que j'ai jamais lu, et aujourd'hui encore je le vénère.

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Encore un livre qui était au programme de 1ères aux États-Unis. Cette fois-ci, je n'ai pas joué aux rigolos et je l'ai lu en même temps qu'on l'a étudié. Pourtant, ça ne m'a pas retiré de la saveur du livre (malgré le fait que les analyses pompeuses qu'on devait subir étaient vraiment lourdes). Au final, c'est un livre que j'ai bien apprécié et dont j'ai surtout aimé le personnage de Gatsby, que j'ai trouvé touchant.

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Encore une lecture imposée par le programme français, et que j'ai étudiée indépendemment de ça. Et tant mieux, parce que je m'étais fait une image (certes erronée, forcément) du style de ce livre, et elle me plait plus que ce qu'on a à étudier dessus. En tout cas, c'est clair que c'est un livre poignant tout en étant écrit d'une façon complètement insensible, et rien que pour ça, c'est génial.