electric nights, electric days...

J'ai découvert la bande annonce de cette série proposé par Netflix il y'a quelques semaines, ça m'avais l'air fun avec un casting maous, mais ne connaissant pas le film de 2001 qui fait du coup office de suite à la série je m'attendais tout de même à un style plutôt lourdingue et grossier à n'en plus pouvoir.
Mais surprise, même si la finesse est rare, le style parodique de ce délire en 8 épisodes se rapproche de séries comme Le cœur a ses raisons sans la surpasser, ou encore la récente The Spoils Of Babylon qui là par contre la bat aisément. J'ai tout maté d'une traite et je me suis marré, j'ai passé un moment si loufoque, si bête, si fun en fait, en compagnie d'un casting juste dingue, de Bradley Cooper à Christopher Meloni ou encore Jon Hamm en passant par Chris Pine, Michael Cera, Jason Schwartzman, John Slattery, Paul Rudd, Elizabeth Banks et j'en passe, beaucoup étaient déjà dans le film d'origine que je dois me voir un de ces quatre.

La série comme son nom l'indique... non pas Wet Hot American Summer mais First Day of Camp, nous fait suivre la première journée délirante, incroyable, mouvementée et tellement what the fucking fuck du camp d'été Firewood. Cette découverte est donc une bonne surprise, un délire que je ne regrette pas d'avoir vu, et je pourrais résumer le tout en une phrase: c'est con mais c'est bon.