Splendides panoramas provençaux. On entendrait presque le chant des grillons...
EEEET... Splendide leçon de wokisme en prime :
- Les catholiques sont des dissimulateurs, magouillent avec les "riches", planquent/déforment/détruisent des preuves. Même le jeune prêtre, si séduisant, piétine les dogmes qu'impliquent son sacerdoce.
- le méchant patriarcat blanc dans toute sa malfaisance : cruautés, violences, meurtres. Surtout quand ils sont riches et, cerise moisie sur le gâteau empoisonné : se coltinent une particule, horreur suprême !!!
- les forces de l'ordre sont soumis à une justice partiale : des couards bornés.
Mais heureusement le héros est homosexuel (perso je m'en fiche. De plus, c'est le personnage le plus complexe de ce salmigondis), les travailleurs humanistes du domaine vont l'aider, ainsi que le flic à la retraite, tout d'abord homophobe (et pire) qui, au contact du héros va évoluer et devenir un mec bien, même s'il reste bourru (restons subtils, n'est-ce-pas.)
Ce qui me fait rire, et c'est un paradoxe hallucinant : l'anti féminisme explosif qui en émerge : Comme dans de plus en plus de ces séries "made in bienpensance", les femmes qui veulent être égales aux hommes en tout sont les personnages les plus nuisibles de l'histoire.
Marrant, non ?
Le service public et ses gros sabots. Scénario linéaire. Bons points pour David Kammenos, Aurélien Wiik et Louise Monot. Voilà.