Bonne cueillette.

Nous sommes dans un genre proche de celui des zombies à la différence qu'il ne s'agit pas de morts-vivants à proprement parler mais de personnes infectées par un champignon qui développent un comportement hyper violent tout en perdant toute humanité (un peu comme dans la série Helix).

Le monde a dû s'adapter à cette pandémie en maintenant des îlots de vie au milieu d'un monde en ruine, ravagé par le lutte contre les personnes infectées. Ces îlots sont de petites cités-États de type démocrature, avec une répression féroce contre les tentatives "terroristes" incarnées par un groupe se faisant appeler "les lucioles".

Nous suivons un couple qui essaye de survivre dans ce monde, entre soumissions et petits trafiques, corruption. Ils vont être amenés à convoyer une jeune fille susceptible de porter en elle le remède contre cette pandémie.

Ce pitch n'est pas particulièrement original (voir Z Nation pour une version pastiche). Ce qui a marqué, à l'époque du jeu vidéo, c'est ce monde très sombre (adulte), très cohérent et artistiquement très réussi. Plus particulièrement le fond qui est la relation qui va se nouer entre la jeune fille et son escorteur qui a perdu une fille de son âge dans la folie du début de la pandémie.

Notez que l'on retrouve avec plaisir Anna Torv de Fringe.