« On ne connaît pas ses parents »

• Saison 1 - « C’est pas une punition, mais une joie d’avoir ses règles », « Certaines personnes portent le masque du maquillage… d’autres, c’est le sourire »

Une bande d’adolescents se découvre des pouvoirs et ils affrontent des malfaiteurs qui ne sont nul autre que leurs parents.

Comme vous avez pu le constater, les bases du scénario sont des plus originales et ingénieuses et elles offrent des dilemmes moraux inhérents. Les personnages sont fascinants autant du côté des jeunes que de leurs géniteurs. De plus, il y a un personnage atypique qui profère des calembredaines féministes par exemple rien que le terme hétéronormatif, c’est un pur régal.

• Saison 2 - « Les assurances sont des arnaques inventées par les holdings pour capitaliser sur nos peurs »

Les six jeunes se sont émancipés de l’influence et de la garde de leurs parents.

La personnalité des héros, mais aussi de leurs ennemis sont abondamment explorés. Comme leurs angoisses et leurs appréhensions, mais ils feront de leur mieux pour empêcher leurs parents de nuire ; quant à eux, ils essayeront paradoxalement et un brin désespérément de récupérer leurs enfants. Néanmoins, l’intrigue se répète inévitablement pendant ces treize épisodes et il n’y a aucun climax dans celle-ci.

• Saison 3 - « Pourquoi mes yeux rejettent de l’eau »

Les jeunots affrontent une bande d’extraterrestres puis une méchante sorcière, suite à cela, ils voyagent dans le temps.

Le show étrenne en sortant du cercle familial pour ce qui est des ennemis. C’est la saison la plus sombre, car il y a plusieurs morts particulièrement marquantes. Néanmoins, comme vous pouvez le constater, le scénario va complètement à vau-l’eau et il s’avère peu crédible surtout quand il aborde les voyages temporels et le wokisme m’empêche de visionner sereinement une série sans y croiser des homosexuels.