Ca commençait bien pourtant...
On ne sait pas du tout où on va jusqu'à la fin du premier épisode mais on accroche quand même, sans trop savoir pourquoi, sans doute parce que c'est réussi. Puis on a une piste, à peine explorée dans le second épisode, dont l'intrigue s'embourbe, laissant définitivement le téléspectateur qui s'ennuie sur la touche, dommage.
La mini-série est quand même bien filmée par Jan Kounen et les plans, surtout fixes, sont très jolis.
Mention spéciale pour deux scènes du premier épisode en Bulgarie, dans les WC du club SM et chez le médecin légiste dans le camp de gitans. On revient à la fureur et à l'intensité du final de "Dobermann", on est complètement pris dans cette atmosphère déjantée et apocalyptique, c'est jouissif !