Kill la Kill c'est tellement fun ! Les filles sont si enviables, mis à part le côté Beach Nudist un peu tiré par les cheveux. Les personnages sont tellement classes qu'il surpassent litéralement ceux de Gurren Lagann puis franchement j'en conserve pas énormément de souvenirs à part Kamina et sa copine, Simon n'aura pas tarder de me tapé sur le système. Kill la Kill engage un sujet bien plus intéréssant, la domination du textile industriel, se demandait si on serait pas tous soumis d'une façon ou d'une autre à notre garde-robe, oui c'est sur nous sommes quelque part des porcs habillées. Garcçons ou filles on est des fashion victims de la mode contemporaine. Satsuki va donc affronter en duel à maintes reprises Ryuko une jeune délinquante mais on découvre bien vite qu'il s'agit en réalité de sa soeur cadette, et ça c'est tellement évident, elle se ressemble comme deux gouttes d'eaux !
On apprends également que la petite Sweet Loli est également leurs soeurs ! Oui puis ta leurs mère qui gère une énorme entreprise de textile et de couture réputés Yves Saint Laurent, Channel ou même Dior qui ressemble beaucoup à la meuf dans les Dalmatiens, manque plus qu'elle dépèce un chien inoccent. Le meilleur reste les transformation et le côté fan-service ecchi qui d'après les Otaculs, représentent la femme dans sa période de menstruation puisqu'elle doit verser une petite portion de sang. Puis tu as aussi la musique qui pète grave sa race, du J-POP, J-ROCK et un soupson de J-RAP, Gurren Lagann avait totalement transgresser le régles anti-rap et tu te dis tant-mieux ! Les couleurs c'est ce que je préfère, côté design pareil, simple, on cherche pas trop loin, niveau fringue, c'est du niveau de Pandora Heart carrément.