Dollhouse par Siestacorta
Le problème de cette série (en dehors du syndrome Alias : tu rates un épisode, tu comprends plus rien) c'est qu'elle commence à vraiment bien fonctionner à partir du 6ème épisode, et qu'on en perçoit vraiment l'ampleur qu'en regardant le final de la première saison (etpitaph), qui finalement ne sera pas diffusé, mais qui change toute la perspective.
Avant ce 6ème épisode, c'est enlevé, intrigant, sympa.... Chouette mais pas encore complètement passionnant. Après, on va voir les persos devenir de plus en plus intéressants, et les intrigues de plus en plus tortueuses (et c'est ça qu'est bon).
La deuxième saison est parfaite.
Mais on retrouve bien Whedon dès le départ, le mélange entre action, clins d'œils, dialogues sourire en coin qui te sortent pourtant pas de l'ambiance...
Souvent, j'ai pensé que Dollhouse, c'est un update du Caméléon, avec un vrai budget, un scénario bien écrit, et une morale beaucoup plus complexe, et des idées de SF très "dickiennes" comme on en voit très rarement au petit écran.
Cette série a tout pour être culte.