Saison 1
Chucky doit convaincre un innocent de commettre un meurtre. En l’occurrence, Jake déteste une fille qui le harcèle.
On voit ostensiblement que Don Mancini est aux commandes de cette série tant le ton est similaire aux films. Celle-ci respecte tous les métrages du plus ancien avec Andy, au plus récent avec Nica. Néanmoins, j’apprécie assez peu que le showrunner se serve de la poupée maléfique comme de vecteur propagandiste des LGBTQIA+ et le traitement sous forme de teen movie est escagassé tant il recycle les poncifs du genre.
Saison 2
Le poupon sanguinaire sévit toujours, mais sur un terrain différent : une école catholique.
Beaucoup trop centrée sur Jennifer Tilly et sur le vaudou au lieu de nous offrir ce qu’on attend rigoureusement, c’est-à-dire du gore, même s’il y a cette scène avec la tronçonneuse qui nous comble de ce côté-là, cette saison étrenne et décidément Don Mancini assume pleinement en faisant rejaillir les personnages qui figuraient dans ce qui fut le pire, mais aussi le plus loufoque des volets, à savoir Le fils de Chucky.
Créée
le 2 oct. 2023
Critique lue 53 fois
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