Alex Rider est à l’origine une saga de roman d’espionnage d’Anthony Horowitz nous racontant l’histoire d’Alex Rider un jeune adolescent obligé par le MI6 à devenir un agent secret. La saga fut adaptée une première fois en un film misérable sur lequel j’ai déjà donné mon avis dans une critique précédente. Mais en 2020 la saga fut adaptée en une série et nous sommes ici pour parler de sa première saison de 8 épisodes.
Comparée à la première adaptation qui prenait le partie de commencer par adapter le premier tome Stormbreaker, la série décida d’adaptée pour commencer le second tome Pointe Blanche en y incorporant les éléments les plus essentielles et importants de Stormbreaker. Un choix plutôt judicieux car la présence d’Alex pour la mission Pointe Blanche et justement plus logique et intéressante que sur Stormbreaker. De plus le mélange des éléments des deux premiers livres fonctionne plutôt bien.
En général même, la série fonctionne plutôt bien. Faisant de très nombreuses modifications avec l’histoire de base, la série c’est profiter de ces modifications pour raconter sa propre version des aventures d’Alex Rider tout en respectant l’âme du livre à savoir la chose qui manquer dans l’adaptation précédente, le côte cruelle et froid de l’histoire et surtout du MI6. Et cela que ce soit grâce au visuel au couleur froide permettant de bien poser l’ambiance que grâce au scénario qui ne cherche pas à édulcorée ou crétiniser l’œuvre de base.
La série nous offre donc une adaptation inférieur mais des plus plaisante réussissant une histoire solide avec des personnage sympathique donnant envie de savoir ce que vas nous offrir la saison suivante qui devrait adapter Jeu de tueur (aka le meilleur des tomes de la saga).
(Cette critique prend évidemment en compte la série jusqu’à la fin de la saison 1)