N'importe quoi !
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le 13 mai 2018
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Le timbre de Georges Brassens ne met pas vraiment en valeur la mélodie entraînante qu'il a créée. Ça swing malgré tout.
Le conte se déroule dans un genre de bidonville ("Jadis au lieu du jardin que voici / C'était la zone et tout ce qui s'ensuit / Des masures, des taudis, insolites / Des ruines pas romaines pour un sou / Quant à la faune habitant là-dessous / C'était la fine fleur, c'était l'élite") où une jeune adolescente va tomber amoureuse d'un guitariste : "une épave accrochée à sa guitare". Le musicien, effrayé par la différence d'âge ne donnera pas suite.
Les dernier vers de la chanson "passant par là quelques vingt ans plus tard, il a le sentiment qu'il le regrette" font écho au premier. C'est bien le même personnage qui, devant la zone convertie en jardin, se remémore et regrette, vingt ans plus tard, cette histoire d'amour inaboutie. Est-elle plus ou moins auto-biographique : je pose la question.
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Créée
le 8 mai 2018
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