Une chanson qui commence par un rappeur foireux et un "Push your hands up" est forcément gage de qualité.
Après plusieurs chansons engagées et réfléchies sur la société, le monde ou Colonel Reyel est quand même devenu le Simon Veil, Martin Luther King, et le beauf du nouveau millénaire, il revient à ses premiers amours, la baise, la tringle, la chose, la bête à deux dos, la trempette du biscuit, le coït, l'accouplement, la fornication, l'attelage, le rut, la saillie, l'étreinte, le ramonage, le baudouinage, l'emboîtement, la copulation,...
Et dans son œuvre géniale il est même accompagné pour le coup. Par un mec dont vous oublierez le nom très vite et donc il est franchement inutile de chercher à connaître. Donc nous l'appellerons "Le Mec".
Le Mec donc a du se dire tiens je suis sur un morceau du Colonel il faut que j'élève le niveau, que j’arrive à touchoter le génie de ce mec. Résultat il nous offre la plus belle phase du rap moderne qui n'a pu voir le jour. IAM, NTM, Lunatic, Ideal J retournez à l'école voici le maître :
"Ta chambre sera mon asile"
Et paf prenez ça dans les dents qui c'est le plus fort !
Au final le morceau ressemble à une version chantée du clip de Faudel où le type harcèle une pauvre fille qui n'a rien demandé à personne et surtout pas que deux clampins pareils débarque chez elle pour la contraindre à dire oui. Paniquée la fille disant sans doute oui de désespoir en appelant discrètement les flics au passage. Et attention tout ça est dans la première minute !
"3 Milliards de filles et c'est elle que j'ai choisi" le choix de la demoiselle ? On s'en bat les...
Au passage on passera sur la repompe musicale d'un morceau de Rihanna que je n'ai pas encore déterminé donc si vous voulez m'aider.
Ah et soyez tranquille l'autotune est toujours là et parviens même à toucher au sublime tellement c'est pourri !