Le morceau commence par un calme très bref qui explose dans une cavalcade incessante du début à la fin au rhythme constant et toujours soutenu en aternance par des frets de guitarre, la caisse claire, une légère montée de basse ou une bizarre construction de frets et de voix. La seule danse appropriée a ce rhythme serait la course, longue, essoufflante et euphorique, dont on ne voit pas la fin.... Lire la critique de Achilles Last Stand