Gabriel est un tueur. Ses motivations sont floues, ses "contrats" arrivent directement par mail, sans compensation financière. Une jeune fille amnésique débarque dans sa vie... Elle va devoir parler si elle veut survivre.
Tama est vendue par son père. Elle se retrouve enfermée et réduite en esclavage moderne. Battue, humiliée, agressée physiquement et moralement, elle est ballottée de buanderie en cellier. Son avenir est sans espoir.
Les deux histoires vont évidemment se rejoindre.


Karine Giébel revient en force, un peu au même niveau que "Meurtres pour rédemption". Tama rappelle un peu Marianne. Elle a mal, elle est violentée, elle n'est pas libre. Et dans un rare moment de pause dans ses souffrances, on se dit qu'avec Giébel, le bonheur ne dure jamais.


Après les moyens "De force" et "Satan était un ange", Karine Giébel revient à son haut niveau. J'ai dévoré ce roman en 24h, me demandant quelle allait être l'issue.


Mais Karine Giébel est fidèle à elle même...


A conseiller à ceux qui ont tremblé avec Marianne des "Meurtres pour rédemption", qui ont eu mal avec Raphaël du "Purgatoire des Innocents", ou qui ont souffert avec Vincent et Servane de "Jusqu'à ce que la mort nous unisse"

VincentRouzade
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le 3 avr. 2018

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