Un roman qui réconcilie les insensibles à la poésie (comme moi) avec Baudelaire et consorts. Kim (l'héroïne), c'est la survie grâce à la poésie. Les sonnets se mêlent à sa vie quotidienne, dans ses moments les plus tragiques, pour se faire les gardiens précieux de la beauté face à la cruauté. Emmanuelle Bayamack-Tam nous raconte à quel point il peut parfois être difficile de grandir quand il faut se façonner seule, voir contre tou-te-s. Une histoire aussi sur la construction de l'identité sexuée et sexuelle, sur le chemin qui mène à nos vies d'adulte et sur lequel tombe des graines d'innocence qu'on gardait dans nos poches d'enfants.
A lire au nom de la beauté qui habite aussi nos vies en dépit de tout.
Kwanita
8
Écrit par

Créée

le 20 mars 2013

Critique lue 435 fois

2 j'aime

Kwanita

Écrit par

Critique lue 435 fois

2

D'autres avis sur Si tout n'a pas péri avec mon innocence

Si tout n'a pas péri avec mon innocence
Kwanita
8

Il reste la beauté

Un roman qui réconcilie les insensibles à la poésie (comme moi) avec Baudelaire et consorts. Kim (l'héroïne), c'est la survie grâce à la poésie. Les sonnets se mêlent à sa vie quotidienne, dans ses...

le 20 mars 2013

2 j'aime

Du même critique

Si tout n'a pas péri avec mon innocence
Kwanita
8

Il reste la beauté

Un roman qui réconcilie les insensibles à la poésie (comme moi) avec Baudelaire et consorts. Kim (l'héroïne), c'est la survie grâce à la poésie. Les sonnets se mêlent à sa vie quotidienne, dans ses...

le 20 mars 2013

2 j'aime