Dans ses essais, l’auteur des Chroniques martiennes revient sur la manière d’écrire des histoires et de ce servir de sa créativité sans la dénaturer. Il nous raconte cette aspect important du métier d’écrivain, de façon personnelle avec sa propre expérience et ses souvenirs.
Ses conseils :
Écrivez et travaillez beaucoup, donnez vous un objectif de mots à écrire par jour ou par semaine. Comme 500 ou 1000.
Nourrissez votre muse, de films, de livres et de tous ce que vous voulez, pour trouver l’inspiration.
Prenez un crayon et une feuille, puis composer des listes sur ce que vous aimez. Exemple : le cinéma, les femmes, la couleur bleu, ect, ses listes vous aideront à trouver un sujet à aborder.
Écrivez pour le plaisir d’écrire et peut être que quelqu’un aimera votre histoire, et vous vous rendrez compte que toute l’énergie que vous avez consacré à cette tâche, na pas servis à rien. Plutôt que pensez directement au succès, se qui rendra votre histoire obsolète.
Quand vous écrivez, ne réfléchissez pas, suivez votre instinct et vous serez plus authentique.
Travail, Relaxation, Ne pas réfléchir !
Dans quelques uns des essais, Bradbury nous raconte la jeunesse de ses livres, comme : Chroniques martiennes, Fahrenheit 451, ou encore La Foire des ténèbres. Tout peut partir, d’une fascination pour une planète, d’un endroit en particulier ou d’un souvenir.
Mes chapitres préféré :
Le Bonheur d’écrire, Comment apprivoiser et nourrir sa muse, Pour quelques piécettes : Fahrenheit 451, La longue route pour Mars, et Le Zen dans l’Art de l’Écriture.
J’ai beaucoup aimé cette essai, Bradbury est direct et on à l’impression de parler avec un professeur qui nous transmet son savoir. Si un jour, j’écris des histoires, c’est sur que je vais utilisé ses précieux conseilles.
Les 20 dernières pages sont des notes du traducteur, qui précise les auteurs, les lieux ou les histoires que Bradbury mentionnent dans ce livre. Ses notes sont très complet et intéressant.
Un excellent livre que je vous recommande !
Lien : https://thomaspassionculture.wordpress.com/2018/04/08/le-zen-dans-lart-de-lecriture-ray-bradbury-critique/