Le livre, tout comme les piliers de la terre ( dont il reprend quand même beaucoup trop les ressorts), se dévore avec plaisir jusqu'à sa moitié, puis la multiplicité des revers des héros du livre fini par lasser. On se dit que c'est bon, ils ont pris bien cher et vont être enfin tranquille, non: il y a à chaque fois un évènement, plus sordide que le précédent - c'est mieux-, qui va aggraver leur situation. Le héros du livre est également un peu trop malin et manie un peu trop bien le verbe et la vivacité d'esprit pour un simple charpentier analphabète. C'est mon deuxième Follett et, je le crains, le dernier.