Après avoir refermer le livre, j'avais encore le coeur qui tapait dans la poitrine, comme si j'avais consommer toutes les saloperies que Raoul et son avocat gobe, sniff et fume tout au long du bouquin. Je n'ai pas connu les années folles des années 70 aux états unis, mais a travers ces 300 pages, j'ai eu un petit aperçu de ce que cela pouvait representer pour un bouffeur de LSD, vivre dans les bras du reve américain. Allant de délire en délire, faisant des rencontres loufoque, au volant d'une cadillac, bernant toutes les personnes croisant leur chemin avec des histoires a foutre les rayons de saturne dans son anus, en nous faisant croire que les portes de nos rêves sont accessible sous le regard veilleur de la ville de Las vegas! Plonger dans la tête du narrateur de l'histoire, on est entraîner avec lui au fil des mots, dans sa paranoïa du monde qui l'entoure... ou bien dans ses reflexions sur la vie, avec la philosophie d'un gars qui voit le monde toujours sous les griffes de toutes sortes de drogues. Bref, si j'ai bien retenu une leçon de cette oeuvre, c'est que la vie sans drogue c'est nul, et je vais finir ma critique car j'ai du mal a écrire avec un garrot au bras...
