Un premier court roman. C’est la forme qui me pousse à la lecture : une écriture fragmentaire, des chapitres qui débutent tous par la même formule, ou plutôt deux. « Je m’appelle Fatima » pour les fragments les plus personnels ; « Je m’appelle Fatima Daas » pour les moins intimes.
Née en France de parents algériens, musulmane qui se cherche et se trouve auprès d’autres femmes. Si la partie sur l’amour, la sexualité et l’islam est moins convenue, on a l’impression d’avoir déjà lu le reste et de pouvoir le survoler.