50 ans au fil de l'eau
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
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C’est un geste à la fois beau et sans concession que propose Liliane Giraudon dans La jument de Troie. Certain·e·s pouvaient attendre autre chose de cette grande figure de la poésie contemporaine, mais la poète propose un livre brut fait de poèmes-dessins alors qu’elle dit n’avoir jamais su dessiner. Cela n’a rien avoir avec une tentative de rattraper un désir non abouti, Liliane Giraudon propose de la matière poétique à l’état brut. C’est le résultat de ce qui est produit par un geste de plaisir, une pratique qui est avant une nécessité pour elle-même avant d’être la vitrine de son œuvre. Nous sommes loin de la poésie qui ne peut se comprendre que par un petit groupe élitiste.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2023/11/19/la-jument-de-troie-liliane-giraudon/
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Créée
le 19 nov. 2023
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