La case de l'oncle Tom est un roman subversif en tant que plaidoyer pour l'abolition de l'esclavage au sein d'une société américaine divisée. (parution en 1852)
Ce roman exhorte le lecteur à mettre fin à cette dérive humaine qui tout en asservissant "l'homme de couleur" asservit le maître. Ils perdent tous deux leur chance de salut.
Ainsi, appelle-t-on les lecteurs, sous couvert de foi chrétienne, à mettre fin à cette passive complicité meurtrière.
Aujourd'hui, ce roman incarne une empreinte vive de l'Histoire.
Ses fines descriptions et ses personnages forts offrent une lecture saisissante.
A lire.
Créée
le 24 déc. 2015
Critique lue 491 fois
2 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur La Case de l'oncle Tom
Ce livre a probablement vieilli... Pourtant, son propos est d'une incroyable actualité. Il pose la question de l'humanité que nous devons reconnaître en chaque homme indépendamment de sa couleur de...
le 29 déc. 2016
5 j'aime
1
Les Shelby compte tenu de leur situation financière sont amenés à se séparer de deux de leurs esclaves dont Tom. Si l'un des deux : une jeune femme parvient à s'enfuir Tom qui est sur le point d'être...
Par
le 31 août 2020
3 j'aime
1
La case de l'oncle Tom est un roman subversif en tant que plaidoyer pour l'abolition de l'esclavage au sein d'une société américaine divisée. (parution en 1852) Ce roman exhorte le lecteur à mettre...
Par
le 24 déc. 2015
2 j'aime
2
Du même critique
Ce récit à la narration subjective, intimiste, émeut. Il nous permet de découvrir très superficiellement le contexte politique Afghan, et notamment la politique des Talibans; mais également le...
Par
le 9 janv. 2016
1 j'aime
Le repos du guerrier est cette histoire insoupçonnée d'un amour féminin inconditionnelle. Loin des romans à l'eau de rose, c'est l'histoire d'un amour qui se révolte, d'un amour qui rend docile,...
Par
le 8 janv. 2016
1 j'aime
L'idée de départ semble intéressante, elle nous intrigue, pour au final une chute qui nous laisse sur notre fin. Une allégorie? Un rêve? Une malédiction? On ne comprend plus rien à la fin. Sinon,...
Par
le 22 mai 2016
