Un des mots à la mode en cette période où il faut très vite se réinventer un futur, est de régénérer : les sols, la terre, l’agriculture, la nature.
C’est à dire remettre du naturel dans ce que l’homme a détruit.


Giorno nous en montre un bel exemple, un siècle avant que le concept ne soit à la mode !


Un message si fort, en si peu de pages (24) !

ChrisLausanne
8
Écrit par

Créée

le 14 sept. 2021

Critique lue 43 fois

ChrisLausanne

Écrit par

Critique lue 43 fois

D'autres avis sur L'Homme qui plantait des arbres

L'Homme qui plantait des arbres
Kitou_Lor
8

Elzéard, tout sauf le hasard

Cette courte histoire est lumineuse et touchante, terriblement actuelle et universelle bien qu’elle se situe en Provence et ait été publiée en 1953. C’est à la fois le portrait d’un homme...

le 19 mai 2015

5 j'aime

L'Homme qui plantait des arbres
PierreSabathi
10

Critique de L'Homme qui plantait des arbres par Pi Sab

Il y a des œuvres dont la Genèse, la vie et leurs conséquences sont aussi passionnantes que ce qu’elles racontent. C’est le cas pour ce court récit à la première personne, issu des promenades de Jean...

le 21 janv. 2013

5 j'aime

L'Homme qui plantait des arbres
Raider55
8

De l'individualisme peut jaillir l'atruisme

En si de mots, Jean Giono signe une ode écologique et humaniste. Ce poème en prose me semble indissociable du court métrage qui en a été fait. Connotation humaniste, écologique. Certains diraient...

le 28 mars 2022

3 j'aime

Du même critique

Le Lambeau
ChrisLausanne
4

C’est décidé, j’arrête le lambeau dans les limbes

J’ai mis 220 pages à prendre la décision d’arrêter, car je me forçais à continuer, au cas où, et par respect pour le drame à l’origine du livre.Encouragé par l’enthousiasme général et la critique...

le 1 mars 2020

4 j'aime

3

Nos plus belles années
ChrisLausanne
7

Nos plus belle années... et la difficulté à les vivre ensemble

Ce film de 1973 a un peu vieilli. On n'imagine plus un film comme celui-ci sortir aujourd'hui. Mais l'histoire est belle et les acteurs sont bons. Deux étudiants n'ayant apparemment rien en commun...

le 20 sept. 2020

3 j'aime

The Eddy
ChrisLausanne
8

Edddie-donc, édible et dicible

Oui, édible car très comestible: c’est une bonne série, à déguster sans modération ! Et c'est dicible, n’en déplaise à des esthètes difficiles qui font la fine bouche sur un détail sans vouloir...

le 24 mai 2020

2 j'aime