10
Critique de Franny et Zooey par Démon S'en-Va-en-Guerre
Ça parle de comment s'en sortir quand on vit dans un monde de merde. Ça peut être utile du coup. Vous devriez le lire, en plus c'est drôle.
le 9 août 2015
7 j'aime
Franny et Zooey par Faisselle
Chaque nouveau livre de Salinger que je lis devient presque automatiquement le meilleur pour moi, et c'est le cas de Franny et Zooey.
C'était ma première visite chez les Glass, et je me sentais déjà chez eux comme chez moi, reclus dans le grenier à écouter les voix qui s'élevent du living room, et je crois bien qu'ils m'ont déjà oubliés. Tant mieux, car je ne voudrais pas que ça s'arrête.
C'était ma première visite chez les Glass, et je me sentais déjà chez eux comme chez moi, reclus dans le grenier à écouter les voix qui s'élevent du living room, et je crois bien qu'ils m'ont déjà oubliés. Tant mieux, car je ne voudrais pas que ça s'arrête.
10
Écrit par
Créée
le 14 juin 2010
Critique lue 354 fois
2 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Franny et Zooey
8
Le plafond de verre...
"Bienvenue chez la famille Glass" nous dit en gros l'auteur de ce livre. Car l'auteur fictif de ce livre est lui-même membre de la famille. Quant à l'auteur de "l'auteur", ma foi, il s'agit de J.D...
Par
le 17 févr. 2016
6 j'aime
9
Critique de Franny et Zooey par Ameli
Salinger est un grand (même si cette formule peut paraître bateau) et il le prouve encore avec ce roman peignant un portrait très fin de la famille Glass. Les dialogues sont percutants, bien vus, on...
Par
le 22 févr. 2012
4 j'aime
Du même critique
2
Critique de The Fountain par Faisselle
ON SE FAIT CHIER LA BITE
Par
le 14 juin 2010
12 j'aime
2
9
Critique de Tarnation par Faisselle
Je ne suis pas sorti indemne de Tarnation. Objet bizarre et touchant, envie de vomir et envie de pleurer. Le regard fou de Jonathan à 11 ans, le regard fou de toute la famille, le lymphatique...
Par
le 3 oct. 2010
10 j'aime
9
Critique de Kids par Faisselle
Aucun jugement de Larry Clark dans Kids, son meilleur film d'après moi. On regarde, on essaie de comprendre, mais on assiste, impuissants, à ces adolescents perdus dans leur communauté new yorkaise...
Par
le 15 juin 2010
9 j'aime
1
