Un livre court , mais intéressant par sa banalité et la psyché des protagonistes

Un livre qui se lit assez rapidement, mais assez long pour qu'on puisse s'attacher aux quelques personnages. Des personnages qui vivent une existence d'une banalité effrayante et qui sont bloqués dans une boucle « Métro, boulot, dodo ». Routine ponctuée de divers événements qui vont les transformer progressivement.


Mais surtout, un des points fort du livre, ce sont les descriptions psychologiques des protagonistes , avec leurs désirs, leurs frustrations et leurs relations face à la vie et la mort.


Un roman intéressante avec des personnages attachants malgré leurs âmes tourmentées.

Créée

le 10 déc. 2023

Critique lue 3 fois

Critique lue 3 fois

D'autres avis sur Extension du domaine de la lutte

Extension du domaine de la lutte
franckwalden
8

La passion du vide

Lu, péniblement, il y a une dizaine d'années de cela. Souvenir vague d'un récit déprimant. Je n'étais pas encore assez mûr, pas assez "homme" pour en saisir l'intérêt. Le contraire d'un livre pour...

le 7 juin 2012

49 j'aime

6

Extension du domaine de la lutte
Charette
8

Contraction du domaine de l'espoir.

Le premier roman de Michel Houellebecq (après celui dédié à HP.Lovecraft) est son premier succès, qui fut même adapté au cinéma en 1999. Pour toute personne ne connaissant pas l'univers de cet...

le 10 sept. 2014

33 j'aime

2

Extension du domaine de la lutte
Gand-Alf
7

La chair est triste.

Comme je le disais il y a quelques temps, l'univers de Michel Houellebecq m'était quasiment inconnu, n'ayant jamais ouvert un de ses bouquins. Après m'être penché sur son essai (réussi) concernant...

le 3 avr. 2013

23 j'aime

4

Du même critique

Extension du domaine de la lutte
Jonatanas-Manzanauk
7

Un livre court , mais intéressant par sa banalité et la psyché des protagonistes

Un livre qui se lit assez rapidement, mais assez long pour qu'on puisse s'attacher aux quelques personnages. Des personnages qui vivent une existence d'une banalité effrayante et qui sont bloqués...

le 10 déc. 2023