En pleine quête de la découverte de Stephen King, j'avais acheté cinq ou six de ses romans pour ajouter à ceux que j'avais déjà lu. Certains me faisaient plus envie que d'autres, mais je ne savais pas vraiment par lequel commencer. Alors je commençais par celui qui m'i spirait le moins, technkque qui a fait ses preuves jusqu'à présent.
Et bien que les 60 premières pages m'aient parut d’une longueur et d'un ennui mortel, je compris finallement que cette sensation parasite que je ressentais venait du fait que King nous fait percevoir le monde au travers des yeux et du cerveau endommagé de Freemantle.
D'ailleurs, sitôt arrivé à Big Pink, les choses s'arrangent tout comme l'état d'Edgar.
Et l'histoire se fait de plus en plus complexe, de plus en plus intéressante et de plus en plus captivantes.
Les pages se dévorent à une vitesse fulgurante et le livre vous plôge dans une multitude de problématiques tel que la reconstruction de soi, l'influence de l'art, de la création sur le monde et l'importance de la mémoire.
À lire sans hésitation les yeux grand ouverts !