L'universalité de la culpabilité

Chronique d'une mort annoncée publié en 1981 par Gabriel Garcia Marquez, écrivain Colombien écriain et journaliste, est le récit de la journée qui précède la mort, à première vue, d'un innocent, dont la seule infortune a été d'être là.
Santiago Nasar, jeune héritier de l'entreprise de son père qui l'a rendu riche, est condamné a mourir dès la première page comme nous l'annonce le narrateur. Cette sentence a été decidée par les freres Vicario lorsque, après sa nuit de noce et la decouverte du mensonge de sa très recente épouse concernant sa virginité, Bayardo San Roman se voit déshonoré et obligé de remettre sa femme aux mains de sa famille. Sous la pression familial, dont le ressenti est le même, un honneur taché, l'épouse Angela Vicario balance le nom de Santiago Nasar comme coupable. Commence alors tout un mouvement à travers tout le village et ses habitants pour pouvoir suivre la chronologie des événements antérieur au meurtre violent du personnage.

Ce récit relate un fait divers apparu dans le journal le 21 Janvier 1932, à Sucre en Colombie.
A travers toute une enquête, le narrateur nous permet de plonger avec lui au cœur du village et de comprendre comment une chose si grotesque à pu se produire.