Embrasse l’été et le chaos
La musique de Makala est quelque chose de spécial à aborder. L’auditeur se sent perdu, prisonnier d’une jungle auditive aussi chamarrée qu’énergique. Seulement, si vous voulez vous lancer...
Par
le 16 avr. 2022
6 j'aime
Il me semble que Rumi dans ce vaste ouvrage échappe à la mort, à l’ennui. Il fuit encore et toujours dans l’unique but de retrouver le désir, de le conserver, de le chérir.
Rûmî, c’est l’auteur adoré et disparu, qui fait comprendre à son lecteur que la modernité poétique réside dans la mort, l’anéantissement du mot. Pour qu’il puisse renaître de ses cendres, ranimé pas la flamme fougueuse du désir, à jamais brûlante
La lumière qui est son désir, le phare de ses actions. Le guide de l’être et du non-être. De l’état et de la léthargie. Les vers comme les mots témoignent de l’atrophie de l’Homme vivant, de la sensibilité et de la puissance de l’homme transcendé.
Créée
le 4 oct. 2022
Critique lue 23 fois
Du même critique
La musique de Makala est quelque chose de spécial à aborder. L’auditeur se sent perdu, prisonnier d’une jungle auditive aussi chamarrée qu’énergique. Seulement, si vous voulez vous lancer...
Par
le 16 avr. 2022
6 j'aime
Alors oui il y’a des ressemblances flagrantes avec Griselda. Oui il a une voix proche de celle de WS gun (ce qui n’est d’ailleurs pas de sa faute). Mais en aucun cas on ne peut nier le talent des 2...
Par
le 30 avr. 2021
4 j'aime
1
Quel sujet, quel personnage, quel documentaire. Il est vrai que ce conte, cette histoire nous prend aux tripes de par sa beauté et ses plus sombres aspects. Comment ne pas reconnaître le génie, mais...
Par
le 14 janv. 2021
3 j'aime