et autres poèmes
Tabacaria
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« Je ne suis rien Jamais je ne serai rien. Je ne puis vouloir être rien. Cela dit, je porte en moi tous les rêves du monde. Fenêtres de ma chambre, de ma chambre dans la fourmilière humaine unité ignorée (et si l'on savait ce qu'elle est, que saurait-on de plus ?), vous donnez sur le mystère d'une rue au va-et-vient continuel, sur une rue inaccessible à toutes les pensées, réelle, impossiblement réelle, précise, inconnaissablement précise, avec le mystère des choses enfoui sous les pierres et... Voir plus
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Critique positive la plus appréciée
Métaphysique du chocolat
L'étrangeté de vivre rend perplexe, semble dire Alvaro de Campos dans Bureau de tabac. Dans ce poème, il accumule les négations, les négations de négations. Il soumet l'existence au rayons X des...
le 9 déc. 2016
2 j'aime
Critique de Bureau de tabac par lemmon
"Je ne suis rien. Je ne serais jamais rien. Je ne peux vouloir être rien. A part ça, je porte en moi tous les reves du monde." C'est l'ouverture de se long poème. Certainement l'un des plus beaux et...
Par
le 3 oct. 2010
3 j'aime
Beckett à la fenêtre.
Un poème existentiel sur un homme qui regarde par sa fenêtre le bureau de tabac en face et se perd en rêverie sur l'accomplissement ou le non-accomplissement de ses potentialités. C'est brillant,...
Par
le 5 avr. 2017
1 j'aime
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