Dès le début du tome, on peut se rendre compte que Billy joue de deux personnalités. Soit lui-même et celui qu'il surnomme Billy l'Idiot.
Les personnages de Billy et Alice sont rendus attachants. Puis le fait d'amener le passé de William Summers de cette manière me plait bien. Cela empêche de faire un saut affreux dans le passé, sans meubler ce qu'il se passe dans le présent.
Toutefois, il y a plusieurs bémols : le temps passe lentement, trop lentement peut-être. Bien entendu, c'est toujours bien meublé. Il y a aussi un mot qui me froisse depuis le premier chapitre, mais il paraît qu'il est dans le dico... Googler et le symbole (pouce levé), je trouve ça plutôt moyen. Mais bon paraît que c'est le progrès et les fautes comme à à la place d'un de.
Le changement d'écriture entre le texte et le récit est une bonne idée. Sauf quand on y fait pas attention. Les petites allusions comme l'hôtel Overlook m'ont décroché un sourire pendant ma lecture.