Atsa m'a accompagnée tous les jours dans mon trajet de métro pendant un moment. Le récit est un peu sens dessus dessous et il faut se rappeler d'un jour sur l'autre où on est exactement : une lettre d'Atsa ? La jeunesse de son père ? L'auteur qui raconte l'écriture du roman ? Mais la justesse des émotions d'Atsa, son désir de vivre et de croire en ceux qui l'entourent, les épreuves qu'elle doit malheureusement vivre, tout ça dans un cadre islandais pas franchement accueillant (on est loin de la carte postale...) nous attachent à son personnage. On espère le meilleur pour elle.