Rosewater est un roman de science-fiction tendance weird : des personnages mutants, une technologie alien organique et mystérieuse, dans le genre on recommandera chaudement Annihilation de Jeffe VanderMeer ou Amatka de Karin Tidbeck.
J’avais déjà lu un très chouette et court roman de l’auteur : Les meurtres de Molly Southbourne. J’ai donc entamé ma lecture en étant assez emballé par la promesse : un dôme extraterrestre qui pousse au milieu du Nigéria et qui a de mystérieux pouvoirs de guérison, un agent-secret-contre-son-gré avec des pouvoir psychiques, le tout dans un Nigéria ¾ d’heure dans le futur. Malheureusement l’auteur s’embourbe dans les péripéties, le récit tire inutilement en longueur et on finit par s’ennuyer. A réserver donc aux fans de SF et ne pas hésiter à sauter quelques chapitres...
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Lus en 2019 et Critiques
Créée
le 27 janv. 2024
Critique lue 3 fois
D'autres avis sur Rosewater
Nigeria 2066. Une ville s’est créée autour (comme un doughnut) d’un dôme extra-terrestre. On l’appelle « eau de rose » et ce n’est pas sans ironie tant elle tient plutôt du bidonville, d’autant...
le 7 juil. 2019
1 j'aime
Parvenant à une superbe intrication de sources et de motifs disjoints, un rusé sommet de l’afrofuturisme contemporain, et de la grande littérature spéculative endiablée.Sur le blog Charybde 27 :
Par
le 28 juil. 2022
La SF est un style bien cartographié, bien vendu, avec peu de surprises. En voici enfin une, de taille : un bout de savane paumé au milieu du Nigeria est devenu le centre du monde. Le bouquin reprend...
Par
le 23 nov. 2021
Du même critique
Suite du Problème à trois corps. Pour rappel, un génial roman de science-fiction où il était question d'astrophysique, d’algorithmes évolutifs et de la révolution culturelle. Cette suite, par contre,...
Par
le 29 janv. 2024
1 j'aime
David Vann s’attaque au roman historique avec cette histoire de la conquête de la Floride. Plus exactement l’histoire d’une expédition effroyable et dramatique menée par un conquistador espagnol,...
Par
le 1 janv. 2024
Depuis Le Discours, Fabrice Caro livre son roman humoristique annuel ou presque, comme il livrera son Asterix chaque année impaire. On en était venu à le lire par habitude mais en s’habituant aussi à...
Par
le 1 janv. 2024
