Resident evil 3 étant mon épisode préféré de la licence de Capcom, je me devais d'explorer l'univers plus loin que le jeu vidéo et je fus tomber sur un roman de l'auteur américaine S.D. Perry publié en 2000.
La lecture de cet ouvrage de 282 pages m'a permis de visualiser une autre façon de voir l'univers de Resident Evil et de me plonger dans l'épopée de l'héroïne de l'œuvre, alias Jill Valentine. L'écriture est soignée et respecte parfaitement le projet de Capcom. La revisite de la vielle ville de 100,000 habitants me terrifie toujours autant et la monstrueuse créature de Umbrella ne cesse de hanter mes nuits. Chaque instant la mort rôde à tous les coins de rue et finir de lire la besogne de Perry deviens rapidement un supplice.
Si vous êtes des fanatiques de la plus grande saga de Capcom et que le manque d'un vrai Survival Horror vous pèse, les ouvrages de Perry peuvent être la clé à vos problèmes.