Revenant des Dames de Kimoto, je me suis lancé directement dans Shigezo, et malgrés, MALGRES cette couverture HORRIBLE de la version française "Folio" (une photo venant d'un site de ressource d'image... respectez vous et respectez nous, ce n'est pas important, mais en faite si quand même), le livre est excellent.

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On suit la très, très longue mort de Shigezo, vus de l'extérieur par sa belle-fille Akiko, qui doit prendre soin de lui...

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Je sais pas quoi dire mise a part qu'apres la claque de son roman précédent, on est en terrain connus, on sais que c'est bon et on est pas déçus. La thématique de la vieillesse et de la mort reviens en force, avec tout le malaise que ca engendre, ca ne nous cache rien, ca prends au tripe, et c'est tellement vivant, le médiocre de chacun qui ne pense qu'a sois - face a Akiko, dans une façon de penser plus a l'ancienne, ou les anciens sont important et ne doivent pas être délaissé...

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Le portrait d'une femme moderne dans le japon de 70 marche bien, j'ai enfin, ENFIN ressentis se malaise de devoir justifier de travailler, de s'occuper de sa famille qui ne lui rendent pas, la vie des autres femme, ect : Cela marche bien, encore une fois elle sais manier les mots et les idées, les phrases touchent leurs cibles, et c'est dure de ne pas ressentir la même chose que Akiko.

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En somme, déstabilisant sur la mort et la vieillesse, écrite par une main de maitre (de maîtresse... ça fait bizarre), nous projetant avec succes dans la vie d'une femme du japon de 70 devant s'occuper de son beau-père, en plus de sa famille.

SlowCoffee
9
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le 20 nov. 2023

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