Je tiens à remercier Didier Jeunesse et NetGalley France pour l’envoi de ce roman. J’étais très curieuse de le découvrir, j’ai trouvé la couverture jolie et le synopsis intérressant. Dès les premières lignes, on accroche plutôt bien, l’histoire se dévoile. On y retrouve Oswald dans un immense manoir où il vit, il a une maladie, il est seul et le personnel de cet endroit est à ses petits soins. L’importance du chiffre 16 berce son existence et à l’approche de ses 16 ans tout va être bouleversé. Le rituel de la cérémonie de son anniversaire se rapprochant il voit arriver dans sa chambre une fille Zellah qui va lui faire prendre conscience que les choses qui l’entourent ne sont pas ce qu’elles sont. Un périple énigmatique commence alors lorsque ces deux-là essayent de s’échapper de ce huis clos infernal. Distorsion du temps, autre réalité, les complications et les révélations s’enchaînent, vont-ils réussir à s’en sortir ? Un roman assez étonnant qui ne laisse pas le lecteur indifférent.
En résumé, la seizième clé est un roman très bien écrit et assez étonnant ! Je ne m’attendais pas du tout à cela et même si tout se passe dans un huis clos on ne s’ennuie pas mais le roman est assez compliqué et on a du mal à s’accrocher car on s’y perd assez vite ! Difficile de penser que ce dernier est un livre jeunesse, il n’est clairement pas destiné aux jeunes lecteurs mais à ceux qui commencent à vraiment maîtriser la lecture. Une bonne découverte pour ma part mais sans coup de cœur.