China Dream
5.9
China Dream

livre de Ma Jian ()

Cela fait partie des livres que je n’ai plus sous la main, et donc la critique sera plus partiel, moins profonde, mais je pense qu’il n’y a pas besoin de temps de temps pour dire suffisamment de mal de ce livre.

Je précise que l’auteur s’est exilé de Chine, où ses livres ont été condamné pour pollution spirituel, et lui plus ou moins accusé d’être un réactionnaire…

Et il commence le livre par « Pour Orwels, qui avait tout prédits ». J’aimerais pouvoir retourner dans passé, voir George, et lui dire « non mais stop… pas la peine d’écrire… Franchement, t’es juste la justification réactionnaire de droite en faisant passer cela pour du progressisme… Attends je te montre ». Je maintien qu’il lui aurais craché dessus, à raison d’ailleur…

Comme Orwells n’est pas réputé pour son style, ce qui est tout de même assez affligeant pour un écrivain, mais plus pour les idées politiques de ses romans, ce qui est vraiment affligeant pour un écrivain, je lui reconnais de bonnes phrases, des romans qui reste efficaces, et en plus, j’ai lus bien pire niveau style, je lui trouve des éléments d’auteur qui me le qualifie de littérateur.

Mais ici, tout n’est pas si rose…

Le livre est d’un ennuis, d’un lourd, d’un stupide :

Il part de faire le parallèle entre la révolution culturel de Mao et le Rève Chinois de l’autre (qui n’est pas Mao donc un traître). Et il appuis, APPUIS, AAAPPPPPPUUUIIISSS bien la comparaison, deux réçit intriqué, histoire que le lecteur comprenne, parce qu’il ne faudrais pas tabler sur son intelligence… Résultat l’effet tombe a plat, et on lit ça non plus comme la saisis d’un instant, d’une idée, d’un réel, mais simplement comme une démonstration de (non) style...

Je prends aussi que l’auteur me parle de la chine d’une façon tellement déconnecté du réel, j’aimerais, vraiment, avoir les sources, de paysans criant le nom du président en son honneur en face de la police. De tout les auteurs et réalisateurs, en plus de mes connaissances, personne n’a jamais vus démonstration de cela. Il ne suffit pas d’être chinois pour connaître ou comprendre la chine. Je précise que je ne donne pas dans le réel brute, mais bien dans ce sentiement que le réel n'a pas été saisis, que quelque chose cloche, et pour finir que ce qu'on lis est fondamentallement con...

Je précise aussi que chez Huxley, il y a le phantasme du sexe entre marx et lenin, en plus de trodsky en petit fille blonde de neuf ans nympho-maniaque, ici on est plus sobre, juste sur des messages téléphonique érotique, et des fellations sur musique de la révolution culturel en regardants des poster de Mao…

Oui, cela fais penser à une scène de « Touch of Sin », sauf que dans le second cas, il est question de l’habitat social, du milieu, de la classe, et des individus. Ici c’est la détresse d’un homme qui sait, mais qui dois trahir le peuple, mais que de souffrance de la part des puissants, que de folie du peuple, ralala si seulement les choses était différentes, ce ne serais donc pas pareil (citation de Jorje O’Rouèll). En somme c’est incroyablement con.

Le tout, et c’est le plus important, sur un style approximatif. J’ai trouvé un nom pour cela, le style « Chat-GPT », étant plutôt convaincus qu’il arriverais a ce genre d’ouvrage d’une platitude sans faille, pour un résultat sans odeur ni goût.

Pour conclure, je me permet de dire que c’est ignorant sur le sujet, inintéressante dans le style, et bien réactionnaire dans les idées, il est compris que je ne le recommande absolument pas, et que je propose a l’auteur une séance d’auto-critique publique.

SlowCoffee
2
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste C'était pas bien, livres

Créée

le 21 oct. 2023

Critique lue 4 fois

1 commentaire

Critique lue 4 fois

1

D'autres avis sur China Dream

China Dream
SlowCoffee
2

Déchéanse de Maoisme. [1.0]

Cela fait partie des livres que je n’ai plus sous la main, et donc la critique sera plus partiel, moins profonde, mais je pense qu’il n’y a pas besoin de temps de temps pour dire suffisamment de mal...

le 21 oct. 2023

1

Du même critique

La Lenteur
SlowCoffee
7

Lecture rapide [1.0]

Première lecture de Kundera (mise à part l'art du roman) à l'aveugle, je commence par la lenteur, relativement court, en chapitre très très succinct.Lors des premiers mots, des premiers chapitres,...

le 21 oct. 2023

2 j'aime

Scum manifesto
SlowCoffee
10

[1.0] ScumBoy

J'ai, adoré, comme j'ai rarement adoré. Premier degrés (mon appréciation, et non le contenus du livre) sois dit en passant.Un livre particulier, puisque toujours ressorti n'importe comment, entre...

le 20 nov. 2023

2 j'aime

2